Comment contester sa notation ou son évaluation professionnelle ?

Publié le Modifié le 07/11/2017 Vu 97 151 fois 27
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En droit de la fonction publique, il est prévu que les fonctionnaires sont évalués annuellement par le biais de notations ou d’évaluations professionnelles. Or, il arrive que ces notations ou appréciations ne correspondent pas à la réalité ou soient contestables. Aussi, il convient de voir comment contester sa notation.

En droit de la fonction publique, il est prévu que les fonctionnaires sont évalués annuellement par le biai

Comment contester sa notation ou son évaluation professionnelle ?

Le principe de la notation pour les agents publics est prévu par le statut général des fonctionnaires. En effet, l’article 17 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 indique : « Les notes et appréciations générales attribuées aux fonctionnaires et exprimant leur valeur professionnelle leur sont communiquées. Les statuts particuliers peuvent ne pas prévoir de système de notation ».

Toutefois, depuis la fin des années 2000, la notation a peu à peu été remplacée par l’évaluation professionnelle, d’abord à titre expérimental, puis, pour certaines fonctions publiques, de manière définitive.

Ainsi, désormais, l’article 55 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 (fonction publique de l’Etat) et l’article 76 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 (fonction publique territoriale) prévoient que l’appréciation passe par un entretien professionnel annuel donnant lieu à l’établissement d’un compte-rendu.

En revanche, l’article 65-1 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 (relative à la fonction publique hospitalière) prévoit toujours la notation des fonctionnaires, avec une simple expérimentation de l’entretien professionnel au titre des années 2011 à 2013. De même, les articles 41 de l’arrêté n° 1065 du 22 août 1953 et 61 de la délibération n° 486 du 10 août 1994 (relatifs aux fonctions publiques de Nouvelle-Calédonie) maintiennent le principe de la notation par une cote chiffrée.

Dans ces conditions, à l’heure actuelle, la notation et l’évaluation par un entretien professionnel coexistent encore.

Bien que ces deux types d’évaluation (notation / entretien) aient une philosophie différente, elles disposent d’un tronc commun important, leur objet étant exactement le même.

Aussi, la contestation des notations et des évaluations professionnelles suit les mêmes règles.

Dans ces deux hypothèses, il est possible de former un recours administratif devant les commissions administratives paritaires (I.) et un recours contentieux devant le tribunal administratif (II.).

I. Le recours administratif devant les commissions administratives paritaires

Lors de l’introduction de l’entretien professionnel (à titre expérimental ou définitif), trois décrets ont été adoptés pour prévoir des modalités de recours administratif spécifiques.

Ce recours suit des règles relativement précises qui doivent être respectées :

1° Dans les 15 jours de la notification du compte rendu de l’entretien à l’agent, celui-ci doit adresser une « demande de révision » à l’autorité responsable de l’entretien.

2° L’autorité hiérarchique doit répondre à la demande de révision dans un délai de 15 jours.

3° Une fois que l’autorité hiérarchique a rendu sa décision, l’agent dispose d’un délai d’un mois pour saisir la commission administrative paritaire afin que celle-ci propose la révision à l’autorité hiérarchique.

Si toutefois, la commission administrative paritaire refuse de demander la révision de la notation, ou si, malgré cette proposition, l’autorité hiérarchique refuse de réviser la notation, il est possible de former un recours contentieux devant le tribunal administratif.

Ce recours devra être exercé dans un délai de deux mois à compter du refus de la commission de demander la révision ou du refus de l’autorité hiérarchique de procéder à cette révision.

Il convient néanmoins de préciser à ce stade que la procédure de saisine de la commission administrative paritaire n’existe selon les règles précises indiquée ci-dessus que dans la fonction publique d’Etat et la fonction publique territoriale.

En effet, pour la fonction publique hospitalière et les fonctions publiques néo-calédoniennes, il est seulement prévu que les commissions administratives paritaires sont saisies des demandes de révision par les agents (article 65 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 et article 15 de la délibération n° 135 du 21 août 1990 pour les fonctions publiques de Nouvelle-Calédonie).

S’agissant de la fonction publique hospitalière, le décret n° 2010-888 du 28 juillet 2010 prévoyait une procédure identique à celle prévue pour la fonction publique de l’Etat et la fonction publique territoriale. Néanmoins, ce décret attachait la procédure à l’évaluation professionnelle, utilisée à titre expérimentale de 2011 à 2013. L’évaluation professionnelle ayant disparu, l’on doit en déduire que la procédure prévue à l’article 6 du décret n° 2010-1153 du 29 septembre 2010 a également disparu.

Par conséquent, dans la fonction publique hospitalière et la fonction publique de Nouvelle-Calédonie, il ne paraît pas nécessaire de saisir l’autorité hiérarchique avant de former un recours devant la commission administrative paritaire.

De plus, les délais précis prévus pour saisir la commission administrative paritaire dans  la fonction publique d’Etat et la fonction publique territoriale ne paraissent pas s’appliquer.

Néanmoins, par sécurité, le délai de 15 jours devra être respecté pour éviter toute discussion ultérieure sur ce point.

II. Le recours devant le juge

Il est également possible de former un recours contentieux contre la notation attribuée à un fonctionnaire.

En effet, l’agent a le choix entre le recours administratif et le recours contentieux. Contrairement à ce que l’on peut lire parfois, le recours gracieux devant la commission administrative paritaire n’est pas obligatoire (CE. SSJS. 6 mai 2015, n° 386907, mentionnée aux tables).

Il convient donc de se pencher sur les moyens qui peuvent être avancés devant le juge en cas de recours contre une notation ou une évaluation.

Au préalable, il doit néanmoins être rappelé qu’un recours formé par un fonctionnaire contre ses notations est recevable.

  • La recevabilité du recours

Le juge administratif considérait initialement qu’un agent public ne pouvait pas contester sa notation.

Néanmoins, il est revenu il a désormais longtemps sur cette position et juge que les notations et appréciations sont des décisions susceptibles de recours (CE 22 novembre 1963, Vanesse, n° 58201, publiée au Recueil p. 577).

Cependant, cette recevabilité ne concerne ni toutes les appréciations, ni tous les requérants :

• Tout d’abord, seul l’agent noté a intérêt à agir contre la décision de notation. Aussi, un autre fonctionnaire (CE. SSR. 7 juillet 1995, Mme Werl, n° 119112, publiée au Recueil p. 291) ou un syndicat (CE. Sect. 30 novembre 1979, Martin et Syndicat autonome de l’équipement de l’Aube, n°s 12323-12324, publiée au Recueil) n’a pas intérêt à contester une notation.

• Ensuite, le recours n’est recevable que contre la notation ou l’évaluation définitive.

En effet, il n’est pas possible de former de recours contre une proposition de notation, par exemple par le supérieur hiérarchique (CE. SSR. 16 juin 1982, Epoux Chereul, n° 23277, mentionnée aux tables).

Seule la notation ou l’évaluation effectivement adoptée par l’autorité compétente peut être contestée.

• Enfin, s’agissant des notations, celles-ci comprennent en principe une note chiffrée et une appréciation littérale.

Or, la note chiffrée et l’appréciation constituent un tout indivisible de sorte qu’un recours formé uniquement contre la note chiffrée ou l’appréciation est irrecevable (CE. SSR. 29 juillet 1994, Mme Litovsky, n° 89011, mentionnée aux tables p. 999).

Il convient donc de bien contester les deux composantes de la notation.

  • Le contrôle exercé par le juge

Le juge administratif exerce, au fond, un contrôle restreint sur les notations attribuées au fonctionnaire et les comptes rendus d’évaluation.

Cela signifie que l’administration conserve, malgré le contrôle, un large pouvoir pour apprécier la valeur professionnelle de son agent.

Aussi, il contrôle :

• L’absence d’erreur manifeste d’appréciation (voir en ce sens : CE. Sect. 26 octobre 1979, M. Leca, n° 04983, publiée au Recueil ; CE. SSJS. 30 septembre 2015, n° 373355).

Il vérifie donc que les appréciations et notations retenus sur l’agent ne sont manifestement erronées par rapport à sa manière de servir réelle.

• L’absence de détournement de pouvoir (CE. Sect. 26 octobre 1979, M. Leca, n° 04983, publiée au Recueil).

Sont ainsi contrôlées les motivations de l’administration. Si elle n’a pas agi pour un motif légitime d’intérêt général en fixant la notation, alors la notation est annulée.

• L’absence d’erreur de droit. Le juge vérifie que l’administration a correctement appliqué les textes relatifs à la notation.

Ainsi, à titre d’exemple, il censurera la prise en compte d’éléments étrangers à la valeur professionnelle de l’agent, comme son ancienneté (CE. SSR. 16 mai 2007, Hospices civils de Lyon, n° 284549, mentionnée aux tables).

De même, il condamnera l’application d’une échelle de notation différente de celle prévue par les textes, à savoir de 0 à 20 en métropole (CE. SSR. 26 janvier 2007, M. Casalegno, n° 266332).

• L’exactitude matérielle de faits (ex : CE. SSJS. 15 mai 2014, n° 374725).

Le juge vérifie ainsi que les événements relatés dans les appréciations établies par l’administration sont vrais.

• En pratique, l’essentiel du débat devant le juge porte sur la valeur professionnelle de l’agent.

C’est ce que contestent généralement les requérants et, surtout, la valeur professionnelle est l’objet même de la notation.

Aussi, la jurisprudence est abondante sur les éléments qui doivent, peuvent ou ne doivent pas être pris en compte.

Ainsi, il appartient à l’autorité hiérarchique de porter une appréciation individuelle sur la manière de servir de chaque agent et de proportionner cette appréciation à la notation. Dès lors, une notation qui est attribuée collectivement, par grade, est illégale (CE. SSR. 24 novembre 1989, Garde des Sceaux c. Hernandez, n° 72615, mentionnée aux tables).

De plus, l’administration ne peut tenir compte que de la valeur professionnelle de l’agent, ce qui exclut la possibilité de tenir compte son ancienneté dans le grade (CE. SSR. 16 mai 2007, Hospices civils de Lyon, n° 284549, mentionnée aux tables).

En revanche, outre la qualité du travail de l’agent et son comportement, la valeur professionnelle recouvre :

  • L’appréciation comparée des mérites de l’agent et de ses collègues. Ce qui signifie que les mérites des autres collègues peuvent intervenir dans l’appréciation (CE. SSR. 24 juin 1992, Mme Guillemot, n° 99180, mentionnée aux tables).

  • Les manquements à la discipline, sans que cela constitue une sanction (CE 23 février 2000, Ministre de l’éducation nationale c. Mlle Collombat, n° 185134). Par conséquent, une notation peut difficilement être requalifiée en sanction déguisée. En effet, dans la mesure où il est possible de tenir compte de manquements à la discipline (même non-sanctionnés) pour fixer une notation, l'on ne voit pas dans quelles hypothèses une notation pourrait être requalifiée.

  • Les éventuelles difficultés relationnelles rencontrées par l’agent (CE. SSR. 28 juillet 1995, Ministre des affaires sociales c. M. Richaud, n° 133568).

C’est donc selon ces principes que le juge contrôle la notation (cote numérique et appréciation littérale) qui lui est soumise.

Bruno Roze

Avocat au Barreau de Paris

5, rue Cambon 75001 Paris

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1 Publié par Visiteur
22/06/2018 00:33

bonjour je suis atmd 2eme classe civil de la defense et je suis categorie c en tant que chef de cuisine sur noumea. je dirige 13personnes dont un categorie b j'ai 21 annee de service dans la restauration et depuis aout 2017 nouvelle gerance militaire a mes notation de 2017 on été une catastrophe pour moi, je voudrais faire une requête au tribunal administratif mais je n arrive pas à la rédiger

2 Publié par Visiteur
05/08/2018 14:18

je suis ash dans un centre hospitalier chrg de rennes
je suis en congée longue dure depuis février 2014, j ai ete notee depuis 5 ans agent "agent exceptionnel". Donc normalement glissement possible de fin de carrière.
Mais pour ne pas me permette ce glissement ils remontent
dans le temps. NORMALE OU PAS NORMALE;;;;;;;

3 Publié par Visiteur
10/08/2018 16:07

bonjour j'envisage de faire un recours contre pour la revision de mon évaluation annuelle. sachant qu'on a attendu la veille de mon départ pour la mutation sur un autre établissement pour me convoquer pour la signature de la notification d'évaluation. je ne partage pas certaines appréciations.On ne m'a pas prévenu à l'avance pour me préparer à cet entretien d'évaluation.J'avais refusé de signer dans un premier temps en joignant à ce refus un crp ou lettre pour expliquer ce refus. Mais la directrice des ressources humaines m'a dit qu'elle ne prendrait pas ma lettre sans une signature de ma part. je l'ai signé malgré moi. puis je avoir des éclaircissements sur cette question. Est il un piège d'avoir signer ou pas. que risque t'on si on refuse de signer. cordialement.

4 Publié par Visiteur
23/08/2018 13:58

Bonsoir
Je m'appelle Abdul Aziz d'Egypte
Doctorat en droit public
Est-il possible de m'aider, depuis le sujet de la thèse de doctorat "Supervision judiciaire des décisions d'évaluation de la performance du salarié public, une étude comparative entre l'Egypte et la France
J'avais besoin de tout ce qui concernait l'interview professionnelle en France dès le début de la réflexion sur sa conduite à travers toutes ses procédures pour contester le résultat de l'entretien professionnel, à condition que les dispositions du Conseil d'Etat français moderne
Merci pour votre présence

5 Publié par Visiteur
22/10/2018 18:35

bonjour je suis agent territoriale cat c j ai toujour les meme notation lors de mon entretien et je suis toujours note pour que je ne puise pas evoluer je ne depasse jamais 50 c est pour passer l echelon aux dessus j aimerai savoir si tous sa et bien legal

6 Publié par Visiteur
27/10/2018 12:58

bonjour
je suis fonctionnaire territorial au conseil régional et je travaille dans un lycée.
je suis géré par une autorité fonctionnel ( proviseur et gestionnaire) et par une autorité administrative ( conseil régional)
ma fonction est responsable maintenance sur mon bulletin de salaire ou notation sur le papier mais sur le terrain je suis multiple fonction . j’ai eu un infarctus sur mon lieu et temps de travail et j’ai déclaré en accident de service. je suis passé devant une expertise médicale qui a conclu avis favorable mais la commission de réforme a émis un avis défavorable et mon employeur l’a suivie . j’ai contextee la décision de mon employeur et pris un avocat de droit public pour faire reconnaître mon accident. mon avocat informe à mon employeur la présomption
d’imputabilité mais mon employeur réplique par l’insuffisance professionnelle par mes notations données le 4 septembre 2018 que j’ai jamais eu.

en 2012 ou 2013 de mémoire,j’ai envoyé par courrier recommandé une demande de copie de notation que j’ai jamais eu.
en 2013 , de mémoire, j’ai consulté mon dossier administratif avec mon syndicat et il n’y avait pas mes notations. j’ai fait un procès verbal qui indique qui manque mes 2 notations.

j’ai eu mes notations par le biais de mon avocat le 4 septembre 2018.
j’ai remarqué que j’ai eu une baisse de notes . je n’ai pas pris connaissance de ma note et je n’ai pas pu contexter ma note comme il est indiqué sur la notation ( tribunal administratif) . en plus ma notation n’est pas signée. ni par moi même, ni par le gestionnaire, ni par le proviseur, ni par mon employeur.
ma question : quel droit ai je droit.

7 Publié par Visiteur
27/10/2018 12:58

bonjour
je suis fonctionnaire territorial au conseil régional et je travaille dans un lycée.
je suis géré par une autorité fonctionnel ( proviseur et gestionnaire) et par une autorité administrative ( conseil régional)
ma fonction est responsable maintenance sur mon bulletin de salaire ou notation sur le papier mais sur le terrain je suis multiple fonction . j’ai eu un infarctus sur mon lieu et temps de travail et j’ai déclaré en accident de service. je suis passé devant une expertise médicale qui a conclu avis favorable mais la commission de réforme a émis un avis défavorable et mon employeur l’a suivie . j’ai contextee la décision de mon employeur et pris un avocat de droit public pour faire reconnaître mon accident. mon avocat informe à mon employeur la présomption
d’imputabilité mais mon employeur réplique par l’insuffisance professionnelle par mes notations données le 4 septembre 2018 que j’ai jamais eu.

en 2012 ou 2013 de mémoire,j’ai envoyé par courrier recommandé une demande de copie de notation que j’ai jamais eu.
en 2013 , de mémoire, j’ai consulté mon dossier administratif avec mon syndicat et il n’y avait pas mes notations. j’ai fait un procès verbal qui indique qui manque mes 2 notations.

j’ai eu mes notations par le biais de mon avocat le 4 septembre 2018.
j’ai remarqué que j’ai eu une baisse de notes . je n’ai pas pris connaissance de ma note et je n’ai pas pu contexter ma note comme il est indiqué sur la notation ( tribunal administratif) . en plus ma notation n’est pas signée. ni par moi même, ni par le gestionnaire, ni par le proviseur, ni par mon employeur.
ma question : quel droit ai je droit.

8 Publié par Visiteur
12/11/2018 15:35

Bonjour,
Ma collectivité a émis une contre-évaluation par mail sur mon évaluation de 2017 afin de mettre fin à la période contractuelle qui nous lie (no renouvellement de CDD après 5 ans d'ancienneté sur des motifs liés à mon comportement.
Cette situation est-elle possible: une collectivité a-t'elle la possibilité de modifier une évaluation ? Si oui, quelle en est la procédure ?
Merci pour votre retour

9 Publié par Visiteur
28/11/2018 19:38

Bonjour, depuis 3 ans on est noté par notre responsable de service et son adjointe (faisant fonction). Il nous impose l’entretien A trois et cette année c’est l’adjointe qui va nous évaluer sans notre responsable sachant que l’adjoInte a le même grade que moi (catégorie C). Beaucoup se plaignent d’etre évaluer par Un agent moins gradé qui fait faisant fonction. Quel est votre point de vue et quel recours avons nous merci

10 Publié par Fox5974
06/02/2019 07:02

Bonjour
Je suis agent sous contrat Gat A dans un’etablisdement Public
Mon N+1 vient de m évaluer et dans Le critère qualité relationnelle je suis évalue comme manquant de franchise et dé loyauté avec des élèments qui laissent à penser que c est juste !
C ewt éléments ne sont évidement abordés nul part ils n existent pas !

Puis je former un recours sur cette base !

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