Exercice de droit paternel

Publié le 15/03/2009 Vu 2191 fois 0 Par
logo Legavox
Légavox

9 rue Léopold Sédar Senghor

14460 Colombelles

02.61.53.08.01

robot représentant Juribot

Une question juridique ?

Posez votre question juridique gratuitement à notre chatbot juridique sur Juribot.fr

15/03/2009 00:28

Bonjour,quelqu'un peut-il me renseigné...
je reviens en arrière pour vous relater les faits:
nous sommes en 1997,le lendemain de la naissance de mon fils,
je décide de le reconnaitre et je constate avec stupéfaction
que sa mère l'avait reconnu 6 mois avant sans m' en avertir.
De ce fait,mon fils porte son nom de famille et elle en aura tout les droit .
Malgré avoir eu la sensation de m'être fait berné,
je prend tout sur moi et reste avec elle dans le seul but
de rester proche de mon fils et veillé a se qui ne manque de rien
ainsi qu'a son épanouissement.
Bref, le moins qu' un père puisse faire pour le bien de son fils.
je fait le canard pendant 3 ans sachant qu' elle a tout les droit sur notre fils,
je dis bien notre fils...Finalement je craque et me sépare d'elle en 2000.
On trouve un accord pour que je puisse voir mon fils tous les weekend,
ce que je fait pleinement pendant 8 mois.
Au bout de 9 mois j'ai plus de nouvelles d'elle et mon fils.
(changement de téléphone, déménagement etc...).je décide de porter plainte en 2001
contre elle au tribunal de grande instance de Versailles pour viol de droit paternel .
Non seulement on me répond en me disant que ma plainte et classé sans suite
car l'examen de cette procédure n'a pas démontré
l'existence d'une infraction pénale,
mais en plus on attire mon attention sur le fait que l'article 177-2 ccp
prévoit la sanction des constitutions de parties civiles abusives.
La réponse du procureur m'a mis un uppercut, je suis tombé ko.
En gros je suis un menteur j'ai tout inventé et si j'insiste c'est moi qu'on va punir,
alors qu'a plusieurs reprise j'ai été chez elle
et c'est toujours une femme qui m'ouvrait la porte et qui venait d'emménagée d'après ses dires.
je suis même venu la nuit avec une autre voiture que l'a mienne pour évité de me faire repérer ,
et pour voir si ça voiture y était mais ça n'a jamais était le cas.
j'ai croisé le gardien qui ma bien précisé qu'elle avait déménager.
j'ai appeler la mairie où elle était censée travaillé mais visiblement elle y travaillée plus.
J'ai était dans quelque maternelle mais vu que j'ai pas le même nom de famille on ne m'a pas renseigné,
et par téléphone on me demande de me déplacer...
Eh oui , quand je me suis séparé on venait juste d'emménager et je connaissait pas la nouvelle maternelle de mon fils
vu que c'est elle qui l'avait inscrit. Honte a moi de ne pas avoir su dans quelle maternelle mon fils rentré...
Bref, plus aucune trace de mon fils et sa mère.Comment ont-ils fait leur enquête,
quelle sont les éléments qui on permis de déterminer qu'elle n'était pas en infraction,
qu'elle n'avait pas fuie, et qu'elle était accessible sans aucun problème...,
alors qu'on ne m'a jamais posé une seule question...je ne saisi pas...
Mais après y avoir songé plusieurs année j'ai fini par comprendre la cause de cette situation précaire,
tout ceci es dû a mon manque de condition physique!, hé oui!! ,
si j'avais couru plus vite qu'elle le jour de la reconnaissance,
aujourd'hui mon fils porterai mon nom et j'aurai tout les droit,voila, grâce a notre belle et efficace justice
mon problème est fondé...puisque la loi stipule bien que le premier qui reconnait l'enfant,
cet enfant portera son nom, donc le premier arrivé aura tout les droits.. superbe equitabilitée...,
celui qui a construit ce texte mérite bien le siège dans lequel il est assis...
sauf que dans le cas contraire,
moi j'aurai tout fait pour que mon fils voit sa mère régulièrement, pour son bien être et son équilibre..
Moi même je n'ai pas connu mon père, et ma mère m'a fait adopté donc je sais le genre de dégât psychologique
que se type de situation peu engendré... je parle malheureusement en connaissance de cause.

Après le coup de poing du procureur...,les mois défilent,
les années passent, le moral se détériore, et on fini par ne plus y croire, et on se laisse aller...
nous sommes en 2009 et je ne sait toujours pas où est mon fils, comment va-t-il,respire t-il encore,
manque t-il de quelque chose,toute ces questions que je me pose depuis tant d'année...
Aujourd'hui je me suis reconstruit dans ma tête, je suis dans un studio mais j'ai déjà fait une demande de logement social
de type f3 bien-sure, pour avoir une chambre en plus car la lois oblige a ce que l'enfant est une chambre pour lui tout seul
afin que je puisse le recevoir un week-end par mois ou plus je sait pas trop comment sa marche...
hé oui! j'ai fermement l'intention de me battre et exercé mon rôle de père...
Voici mes QUESTION:
_Dois-je porté plainte a nouveau?
_Dois-je demandé un droit d'hébergement? si oui a qui écrire?
_Tel que soit les procédure que j'entame, doi-je les entreprendre dans la
région où c'est déroulé tout ceci, ou dans la région où j'habite actuellement?
_Quel stratégie et chemin le plus direct prendriez-vous,sachant que je n'ai pas les moyen de prendre un avocat,
pour exercer mes droit paternel?
pouvez-vous me répondre,dans la mesure de vos possibilités bien-sure,
car j'ai l'envie,l'espoir, le moral en béton pour retrouvé mon fils mais je n'ai pas "d'arme",
en plus la "cible" pourrai se déplacer si elle apprend que je veu voir mon pti bonhomme et elle n'est pas toute seule visiblement ,
car pour faire croire a une des meilleur police du monde qu'une "cible" aussi énorme n'en n'est pas une,il a bien fallu manigancer a plusieurs...

Merci
GG. Dernière modification : 15/03/2009

Répondre

Avez-vous déjà un compte sur le site ?

Si oui, veuillez compléter les champs email et mot de passe sur le formulaire en haut de page pour vous connecter.

Sinon, complétez le formulaire d'inscription express ci-dessous pour créer votre compte.

Inscription express :

Le présent formulaire d’inscription vous permet de vous inscrire sur le site. La base légale de ce traitement est l’exécution d’une relation contractuelle (article 6.1.b du RGPD). Les destinataires des données sont le responsable de traitement, le service client et le service technique en charge de l’administration du service, le sous-traitant Scalingo gérant le serveur web, ainsi que toute personne légalement autorisée. Le formulaire d’inscription est hébergé sur un serveur hébergé par Scalingo, basé en France et offrant des clauses de protection conformes au RGPD. Les données collectées sont conservées jusqu’à ce que l’Internaute en sollicite la suppression, étant entendu que vous pouvez demander la suppression de vos données et retirer votre consentement à tout moment. Vous disposez également d’un droit d’accès, de rectification ou de limitation du traitement relatif à vos données à caractère personnel, ainsi que d’un droit à la portabilité de vos données. Vous pouvez exercer ces droits auprès du délégué à la protection des données de LÉGAVOX qui exerce au siège social de LÉGAVOX et est joignable à l’adresse mail suivante : donneespersonnelles@legavox.fr. Le responsable de traitement est la société LÉGAVOX, sis 9 rue Léopold Sédar Senghor, joignable à l’adresse mail : responsabledetraitement@legavox.fr. Vous avez également le droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle.

Image Banderole Conseil-juridique.net

Consultez un avocat

www.conseil-juridique.net
Me. HADDAD

Droit civil & familial

2651 avis

209 € Consulter
Me. BEM

Droit civil & familial

1426 avis

249 € Consulter