Demande de renseignement suite à plainte violence conjugale 13 juin 2024

Suite à une violence conjugale du conjoint l'an dernier en juin 2024 , j'ai fait part au conjoint d'appréhender les soins dont il avait besoin ( csapa, cmp ) avant l'audience qui a eu lieu le 4 avril 2025 pour éventuellement mieux y faire face . Jusqu'à ce jour le conjoint avait arrêter l'alcool et tenait ses soins dans ces organismes comme il a réussit à endiguer ce soucie il a fait un retour au domicile depuis le 12 avril 2025 mais voilà que 1 mois jour pour jour celui recommence à boire à outrance,état dépressif ,instable emotionnelement et je reviens au point de départ de la situation de l'année précédente. Nous avons un enfant ensemble qui a 9 ans que je me démène à protéger de voir son père dans un état déplorable mais je ne sais comment faire face à l'état depressif chronique du conjoint du à son mauvais passé qu'il a lui même vécu plus jeune, le procès aillant déjà eu lieu le conjoint a un suivie obligatoire auprès du SPIP mais il recommence à vouloir déstabiliser la situation de famille qu'elle serait le recours pour y mettre un terme complètement? je ne supporte plus vouloir avoir à faire à de telles situations du père de notre enfant celui ci se calme un temps regrette pleure veut que je le soutienne mais rien ne s'arrange tout recommence

Bonjour et bienvenue,

La navigation sur le Site suppose l'acceptation par tout Internaute, des conditions générales, "les messages doivent comprendre des formules de politesse".

Merci d'y penser.
__________________________
Après mes randos au Népal, je trouve au monde une autre saveur et une conviction plus forte sur la nécessité d'une communication empathique et courtoise. (°_°)

bonjour

la solution est de vous séparer de votre conjoint

d'ailleurs vous dites conjoint: etes vous mariés ? si oui entamez une procédure de divorce

Bonjour,

bénéficiez-vous d'un soutien psychologique avec un psychologue?

Je vous propose de vous rapprocher d'une association d'aide aux victimes d'infractions pénales : dans ces associations il y a des juristes et des psychologues.

Il existe aussi le CIDFF une association qui milite et aide pour les droits des femmes :

https://fncidff.info/

Bon courage et prenez bien soin de vous.

Zénas
__________________________
De la discussion jaillit la lumière.

Petit juriste généraliste bénévole à BAC+4 en Droit acquis en 2000 à Grenoble

https://www.legavox.fr/blog/jerome-chambron/