HELP : licenciement abusif et gérante manipulatrice

Publié le 10/12/2014 Vu 4703 fois 62 Par
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29/11/2014 12:20

Bonjour,


Désolée mais ça risque d'être long : je vais tout vous raconter pour vous montrer quelle est ma situation actuelle... j'espère que certains d'entre vous pourront m'aider :-(

(pour les gens qui veulent pas lire, voici un résumé : En gros ma gérante me harcèle et m'a demandé un abandon que je n'ai pas fait. J'ai quand même reçu un recommandé pour un entretien préalable auquel je ne suis pas allée faute de transports, et je voudrais savoir si mon employeur peut ne pas donner suite à cet entretien, et s'il ne donne pas suite (finalement rien à me reprocher) que faire ??? Si je retourne au boulot ma gérante va me tomber dessus encore pire que d'habitude pour ne pas avoir fait cet abandon....)


Depuis quelque temps j'ai des soucis au travail (vendeuse en friperie, CDI 35h) Avec mes clients d'abord qui demandent toujours plus, nous insultent/frappent, mettent tout par terre volontairement et j'en passe..., et maintenant avec ma gérante qui vient rarement à la boutique mais aime me rabaisser quand elle vient...

Depuis qqes mois je suis suivie par un conseiller au fongécif.
La dernière fois que je l'ai vu -un lundi car c'est mon jour de repos-, sortie de notre entretien j'ai envoyé un sms à ma gérante (qui m'avait demandé en fin de semaine juste avant, de faire un abandon de poste la semaine suivante : de ne plus venir à partir de mardi donc), en lui demandant si ce serait plutôt possible de s'arranger pour que je parte en CIF.
Elle m'a répondu qu'"en fin d'année la compta était pas d'accord car tous les dossiers clos (??), que si je voulais tenter quand même il fallait que je fasse mon dossier toute seule du coup (c'est pas à moi de la faire de base ?) et qu'elle pouvait refuser ma demande dans tous les cas".
Elle peut pas sauf si elle peut prouver que je suis indispensable au magasin non ? (elle m'a dit elle même les yeux dans les yeux qu'une intérimaire formée une demi journée pouvait me remplacer...3 nouvelles sont là depuis plus d'un mois et on évite de les laisser seule... c'est dire.)
Je pense que elle a confondu CIF et DIF et que elle voulait juste avoir une raison de me virer pour se débarasser enfin de moi (alors que j'ai jamais rien fait contre elle).
D'après ce que j'ai lu et ce qu'a confirmé mon conseiller Fongécif, l'employeur ne peux que reporter. Et ce seulement s'il prouve que je suis indispensable au magasin = elle peux pas refuser dans mon cas si le Fongécif accepte mon dossier.
A vrai dire, je voudrais vraiment reprendre les études... Du coup l'aide du fongécif serait la bienvenue alors il faudrait que je sois employée pour y avoir droit... mais rester à ce poste jusqu'à la formation me parait périlleux pour ma santé mentale. :-(
Y aurait-il un moyen pour rester employée jusque là ??
Dans le texto je lui ai même dit pourtant que j'étais prête à partir en congés sans solde jusqu'au début de la formation si elle voulait "plus me voir dans son magasin" (je cite).
Au bout de plusieurs SMS, elle me dit "ok à demain, mais tu change tes horraires car j'avais fait le planning sans toi" (alors que je n'avais loupé aucun jour je le rappelle).

Le mardi, elle a appelé au magasin et mes collègues étant occupées c'est moi qui ai répondu. Quand elle a reconnu ma voix, son ton a changé et elle a prétendu que "j'avais rien à foutre là" et autres choses du genre sur un ton très énervé (par téléphone pas de témoins... qui ont juste vu mon visage se décomposer. A chaque fois qu'on parle toutes les 2 de toute façon elle s'arrange pour que ce soit en privé ou par téléphone...)
Elle m'a hurlé dessus (au sens propre, je pouvais pas placer un mot) pendant 5-6 minutes me rabaissant et me disant que de toute façon je tiendrais pas/serait la première de nous deux à craquer etc.
J'ai juste pu lui demander d'essayer de comprendre ma démarche et d'arrêter de m'insulter, ce à quoi elle m'a répondu qu'elle avait pas utilisé de vulgarités. (Soit, mais j'aurais préféré plutôt que de me faire rabaisser de la sorte).
Elle m'a enfin INTERDIT d'ouvrir le magasin (on l'ouvrait 1/2jour avec une de mes collègues), a changé mes horaires et a changé mon jour de repos aussi... (Le jeudi elle m'a donné... pour m'embêter je suppose vu que Noël et le jour de l'an tombent des jeudis cette année... HA HA) avant de raccrocher.

Ma gérante me demandait donc de faire un abandon de poste, a-t-elle le droit de faire ça ?
Elle a réorganisé tous les plannings comme si je venais pas, et a changé mes horaires au dernier moment... qu'est ce que je peux faire
Du coup elle a vraiment dans l'idée de me pourrir la vie désormais...


J'ai retravaillé donc le mardi et le mercredi, avant d'aller me faire mettre en arrêt pour dépression par mon médecin... Le mercredi 19 où, justement, j'ai reçu un recommandé me convoquant à un entretien préalable...
J'ai peur qu'elle essaye de me virer pour faute lourde finalement et pas faute grave (abandon) :-(

En fait : 1/ est ce qu'elle a vraiment cru que je viendrais pas et du coup elle avait prévu à l'avance d'envoyer ce courrier, et qu'elle a oublié de l'annuler alors que j'ai un texto où elle me dit de venir (et que c'est pour ça que qd elle a reconnu ma voix elle m'a hurlé dessus ?) ou 2/ est-ce-qu'elle compte me licencier pour faute lourde comme elle l'a dit à ma collègue (qui est d'ailleurs celle là même qui lui avait parlé de cette "faute") :-/ : le 7 novembre, j'étais en caisse avec un homme dans la file qui me hurlait que j'étais trop lente et savais pas faire mon travail, alors que je comptais 15€ en pièces jaunes d'une très bonne cliente qui m'aidait car ma caisse était vide. Elle avait un billet de 20€ mais moi plus de 5€ ou assez de pieces pour lui rendre la monnaie donc elle me donnait 15€ en liquide... Quand mon vigil est venu le calmer j'ai dit (assez fort :/ et alors qu'il ne me regardait plus pendant que je me remettais à compter mes pièces) "j'en ai marre de gérer des cons" sous entendu "qui connaissent pas mon boulot"...

Je dors plus, je mange plus, je vis plus, cette situation est horrible...
Voilà, convocation à un entretien préalable à une sanction car "ils ont des trucs à me reprocher"... Quoi ?? L'abandon de poste non fait ? Mais si c'était ça, elle m'aurait envoyé une lettre me demandant d'y retourner avant celle que j'ai reçu non ??
:-(


Donc, hier matin j'avais cet entretien... vendredi 28 à 8h30, à 130km de chez moi, dans leurs locaux non desservis par les transports = je n'y suis pas allée et leur ai envoyé un recommandé pour leur dire que je n'irais pas faute de transport (mais la lettre est allée se perdre dans le jura et ils ne l'ont donc toujours pas reçue, les astres sont vraiment tous centre moi :-( ).


J'étais allée voir la CGT après réception de cette convocation à l'entretien préalable...

Ils ont bien ri quand ils ont vu mes contrats et lettres reçues...
Au départ je ne parlais qu'à celui avec qui j'avais conversé un peu par mail, à la fin ils étaient 3 autour de moi à limite se disputer pour savoir qui représenterait le cas tellement ils étaient tout excités par le nombre d'erreurs qu'ils trouvaient dans les documents, les SMS que je leur montrais ou les faits que je leur reportais.
Je n'avais pas remarqué, c'est eux qui l'ont vu, mais dans les adresses des lieux ou je peux trouver une personnes pour m'accompagner à cet entretien il y a ma mairie (du lieu où je travaille donc, ok) et de l'inspection du travail du 69 alors que le siège de mon entreprise est dans le 71 et il fallait me donner l'adresse de l'inspection du travail dont dépend mon entreprise...
Ca me rassure de les savoir avec moi, mais j'ai quand même bien peur que ma gérante arrive à contourner tout ça...


L'autre jour, je suis allée aussi à l'inspection du travail pour demander conseil... Ils m'ont dit de ne surtout pas faire de prise d'acte car les juges sont très pointilleux et la procédure serait trop longue (et je ne toucherais rien pendant ce temps alors que si je me faisait virer j'avais le chômage).
La CGT m'a dit la même chose aussi, que vu qu'un processus de licenciement avait été mit en route y valait mieux en attendre le résultat avant de prendre de telles mesures


Sur conseil de ma soeur, qui a eu des soucis avec sa boite il y a quelques années de ça aussi, j'ai envoyé un second recommandé pour avertir ma PDG des agissements de ma gérante envers moi (mais sachant qu'elles sont très amies je sais pas comment ceci va être reçu...).
Lettre qu'ils ont reçu hier matin avant l'entretien... le sort est vraiment contre moi, ils reçoivent pas mon excuse de ne pas pouvoir être là (postée avant), mais mes critiques envers ma gérante oui:/ ... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA


Maintenant je ne peux rien faire d'autre qu'attendre et voir où tout cela me mène...

Par contre...
Est-ce-que quelqu'un sait, s'il vous plait, si après m'avoir envoyé une convocation elle peux ne rien faire d'autre ?
Ou est-ce qu'elle est obligée de me dire le résultat de cet entretien ?
Parce que si elle m'a envoyé une convocation en espérant que je fasse un abandon -non fait- pour me virer pour faute grave, elle aura plus rien à me dire du coup et risque de faire genre de rien quoi...
POSSIBLE ??


4 de mes collègues y sont passées avant moi tour à tour,4 avec qui elle avait fait des trucs pas très catholiques pour se débarasser d'elles. Sauf que elles étaient en CDD = plus facile, et souvent en contrat aidé = encore plus facile de jouer avec des gens faibles. :-(
Faut pas jouer trop avec le feu non plus. Moi je sais me renseigner sur mes droits et demander de l'aide de gens compétents en la matière...



Du coup, là, je me pose donc surtout deux questions vous l'aurez compri, auxquelles j'ai peur que les réponses soient oui...

1/ à la fin de mon arrêt maladie faudra-t-il que je retourne là bas ? :-( (je suis en arrêt depuis réception de la convocation, pour la 3ème fois depuis septembre, sous antidépresseurs et calmants pour dormir...)
Je n'ai aucun moyen pour ne pas y retourner mis à part les arrêts maladie (mais c'pas mon truc... je suis en dépression oui, mais suis capable de mettre des fringues sur un cintre), si ?
J'ai juste plus envie d'y retourner, j'y suis passée avant hier pour passer le bonjour à mes collègues, mais l'aura/la lumière du magasin m'a fait me sentir tellement mal que je suis vite partie...
Pfff, j'en ai marre de tout ça. Je veux juste une vie normale sans embrouille moi, pourquoi elle me cherche sans raison ? :/

et 2/ Est ce qu'elle peut ne pas donner suite à son premier recommandé et faire genre de rien en espérant que, comme à l'habitude, je laisse couler ?


Je suis totalement perdue, n'ayant jamais vraiment travaillé en France je m'y connais pas assez pour prendre des décisions aussi importantes pour ma vie.

Je vous en prie, montrez moi la bonne direction à prendre, je sais plus à qui me fier... et si je peux même me fier à quelqu'un.. :'-(



HELP !!
ET MERCI D'AVANCE DE VOTRE AIDE ! :-) **petit sourire plein d'espoir**


PS : j'ai un texto d'elle où elle me demande an abandon, et des vidéos d'elle (sans son) où on voit qu'elle est oppressante envers moi (sans hurler, comme elle sait bien faire) devant mes clients alors que je suis en caisse. Dernière modification : 29/11/2014

29/11/2014 13:45

Bonjour,
L'employeur peut quand même refuser un départ immédiat en CIF et le reporter, je vous propose ce dossier...
Mais il aurait fallu déjà que vous en fassiez la demande officiellement par lettre recommandée avec AR...
Maintenant ce qui était le plus important, c'est cet entretien préalable pour lequel je vous aurait conseillé de vous faire assister de préférence par un Représentant du Personnel ou, en absence dans l'entreprise, par un Conseiller du Salarié, comme cette possibilité doit être rappelée dans la convocation...
Ce qui vous a été dit concernant la convocation ne peut constituer qu'un vice de procédure qui ne remettrais pas forcément en cause le licenciement en lui-même...
L'employeur a un mois pour vous notifier sa décision et si vous n'avez pas de mise à pied conservatoire, je vous conseillerais de d'envisager de reprendre le travail au terme de votre arrêt de travail si vous ne recevez rien mais de demander une visite de reprise auprès du Médecin du Travail...
Vous ne pouvez pas vous servir d'enregistrements effectués à l'insu de la personne...
__________________________
Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

29/11/2014 14:04

Bonjour, merci pour votre réponse.

Ces enregistrements n'ont pas été faits à son insu : ce sont les enregistrements faits par nos caméras de surveillance, j'ai filmé avec mon téléphone ce que la caméra avait enregistré (j'ai filmé notré écran qui rediffusait les faits).

Je serais allée à l'entretien préalable s'il s'était déroulé sur mon lieu de travail, mais être là bas à 8h30 sans transports était impossible.

Je comptais attendre qqes semaines que mon dossier Fongécif soit quasi fini avant d'envoyer la lettre à mon employeur, mais maintenant que j'en ai parlé à ma gérante elle cherche à se débarasser de moi pour que je n'ai pas droit à ça (pourquoi, je ne sais pas... elle ne m'aime cherche à tout faire pour me contrer même si mes démarches ne la gènent en aucun cas :/ ).

Et dans tous les cas je retournerais au travail oui, je n'en ai pas envie mais je veux rester irréprochable quant à mon travail... c'est elle qui joue l'enfant, moi je reste égale à moi même et je respecte le contrat que j'ai signé.

L'employeur est donc obligé de me donner une réponse par rapport à cet entretien, même si ce n'est pas un licenciement, c'est ça ?
Si je ne reçoit rien, quels sont mes recours ?
Et si je reçoit un simple avertissement ou quelque chose du genre ?

29/11/2014 14:15

Ce n'est donc pas l'enregistrement original et ça revient au même que si c'est à son insu...
De toute façon, si vous êtes licenciée avant, il n'est plus question de CIF...
A la limite, l'employeur peut rester silencieux après l'entretien préalable et dans ce cas le contrat de travail se poursuit...
Vous pouvez toujours contester une sanction ou un licenciement si vous avez matière pour le faire...
__________________________
Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

29/11/2014 14:20

ok, tant pis pour les enregistrements, j'ai toujours son SMS ou et me dit de faire un abandon... il compte ?
Donc l'employeur a le droit de ne pas donner suite à ce recommandé ?

29/11/2014 14:21

Est ce que j'ai le pouvoir de dénoncer un harcèlement à partir de ce recommandé qui était, je pense du coup, pour me faire peur ?

29/11/2014 14:25

Dans l'état, une convocation à un entretien préalable au licenciement ne peut pas a priori servir à démontrer du harcèlement moral...
__________________________
Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

29/11/2014 14:28

Donc ma seule option est d'y retourner et de faire comme si de rien n'était ?? :-(
Doit bien y avoir une solution pour me sortir de tout ça, qu'en pensez vous ?

29/11/2014 17:55

Pour l'instant, nous ne savons pas ce qui va se passer car si vous êtes licenciée pour faute grave pendant l'arrêt-maladie, vous n'aurez pas à y retourner, de même si lors de la visite de reprise, le Médecin du travail vous déclare inapte après deux visites espacées d'au moins 15 jours ou en une visite en cas de danger immédiat mais de solution miracle je n'en connais pas sauf si vous considérez que c'en est une de rechercher un nouvel emploi et de démissionner...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

29/11/2014 18:22

3-4 mois déjà que je cherche un nouvel emploi tellement cette relation avec ma gérante (qui ne vient pourtant qu'une demi journée par semaine) me pèse... et ces dernières semaines je n'avais plus du tout la motivation de chercher... et encore moins de motivation pour me vendre si entretien il y avait...

Mais j'aimerais vraiment cette formation avec le Fongécif, je peux la faire seule... mais il me faut trouver plus de 9000€.

Ce qu'elle ne voit pas je crois, c'est que cette formation ne sera pas financée par elle, pendant ma formation je suis pas dans "son" magasin, et quand je l'ai finie je démissionne volontier, plus rien à taper d'être vendeuse !

30/11/2014 00:35

Bonjour,

Le harcèlement moral se base sur la répétition des faits. Une unique lettre recommandée n'est pas une preuve en soi.

De plus, si vous pouvez prouver qu'elle ne vous prévoit pas au planning, est-ce vraiment "abandon de poste ?" Un abandon serait plutôt si vous êtes prévu au planning et que vous ne venez pas. Si vous avez accès au planning, faites-en une copie.

Ici, cela se rapproche plus d'une mise au placard.

Essayez de vous rapprocher de personnes au sein de votre entreprise (délégués du personnels), même si vos collègues n'ont pas entendu la conversation mais qu'ils ont remarqué votre visage ou d'autres choses entre cette personne et vous, alors demandez-leur de témoigner.

Personne sur ce forum peut savoir ce qu'ils vont vous reprocher. Peut-être vos collègues sont au courant ? Peut-être que pour la suite de votre situation, mieux vaut ne pas divulgue trop de chose sur ce site, mais les garder ces éléments pour votre défense avec un avocat.

Un dossier sur le harcèlement moral : http://www.ribeiroavocat.fr/harcelement-moral-au-travail/

30/11/2014 01:10

Il serait très étonnant que des salariés qui restent dans l'entreprise acceptent de témoigner pour ne pas risquer des mesures de rétorsion...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

30/11/2014 01:28

Certes cela peut être compliqué, mais certains peuvent très bien ne pas accepter de fermer les yeux sur cette situation, certains peuvent être dans l'empathie... Il me semble qu'il n'est pas inhabituel d'avoir des témoignages de collègues, d'anciennes personnes d'une entreprise...
Enfin, il serait je pense maladroit de dire "ne demandez pas, ils n'accepteront pas". Nous ne sommes pas ces salariés et nous ne pouvons pas connaitre leur réponse à cette demande. Après, si Marylodisme arrive à en récupérer de cette nature qui prouvent sa situation, c'est très bien, sinon, Marylodisme fera sans.

http://www.justice.gouv.fr/justice-penale-11330/le-delit-de-harcelement-moral-23635.html

http://www.etre-bien-au-travail.fr/travailler-en-equipe/articles/sachez-defendre-un-collegue-victime-de-harcelement-moral

http://www.officiel-prevention.com/protections-collectives-organisation-ergonomie/psychologie-du-travail/detail_dossier_CHSCT.php?rub=38&ssrub=163&dossid=403

30/11/2014 09:22

Bonjour,
C'est au contraire exceptionnel d'avoir des témoignages de salariés restés dans l'entreprise, effectivement, il vaudrait mieux viser des personnes qui n'y sont plu mais il me semble que le souci premier de l'intéressée est de trouver le moyen de partir rapidement...
Je rappelle aussi que pour l'instant, la salariée n'y est pas présente et je pense qu'il serait maladroit qu'elle s'y rende encore...
Personne n'a dit de surtout ne rien demander mais je pense qu'il est inutile de leurrer les internautes...
Par ailleurs, je n'ai personnellement pas vraiment décelé des faits de harcèlement caractérisés qui puisse vraiment donner lieu à poursuite puisque précisés sans témoins...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

30/11/2014 09:32

Bonjour, voici une liste chronologique de ce qu'il s'est passé ces derniers mois si ça peut aider (avant ce n'étais que rabaissements et moqueries, mais elle s'est débarassé des autres alors elle s'en prend pour de bon à moi) :

- elle m'a dit, sur un ton très agressif, que j'étais facilement remplaçable par une intérimaire formée une demi journée, que si ca allait pas j'allais voir mon médecin. Puis s'est énervée contre mes collègues parce que je l'avais fait "Elle veut jouer à ça !!"

- Nous avions changé nos horaires en le lui disant car une restait seule au magasin pendant la pause des autres avant l'arrivée du vigil et nous étions désormais seule vendeuse mais en présence du vigil.
Elle m'a hurlé dessus en caisse devant mes clients quand mes collègues sont parties... et nous a réimposé ses horaires.

- Lors de la réunion des boutiquaires de la région elle m'a donné un mug où elle avait écrit "Les bons moment resteront de bons souvenirs, les mauvais de bonnes leçons" = humour à revoir...

- Elle ment à ma collègue lui disant que je refuse d'ouvrir le magasin

- le 14, elle "s'arrange" pour me faire faire un abandon de poste la semaine suivant que je ne fais pas, la prévenant (le lundi 17 - mon jour de repos normal) que je préferais faire un CIF. Elle me ment sur le CIF pour me faire abandonner... et comprenant que je laisserais pas tomber me dit enfin "ok à demain".

- Le lendemain (18) le téléphone sonne au magasin et je répond, quand elle a reconnu ma voix elle a changé de ton pour reprendre son ton agressif et m'a pourrie disant que j'avais rien à foutre là et que j'abandonnerai avant elle.
Puis elle change mes horaires (elle avait refait le planning sans moi alors que je n'avais loupé aucun jour), change mon jour de repos (pour me donner le jeudi croyant m'embeter vu que c'est le jour de l'an et noel cette année), et m'interdit d'ouvrir le magasin.

- Le lendemain encore (19) , j'ai reçu une convocation pour un entretien préalable (je sais pas si elle a oublié de dire à la secrétaire de pas l'envoyer vu que j'ai pas fait d'abandon ou si elle me reproche autre chose)

- Je me suis remise en arrêt pour dépression et le suis depuis. (le 20)

- Le 25 j'ai envoyé un recommandé pour prévenir que je ne pourrais pas être à l'entretien. Puis en fin de journée un second pour dénoncer les agissements de ma gérante à la direction.
Le dernier étant pourtant le seul qu'ils ont reçu à l'heure actuelle... Une lettre de reproche reçue juste avant l'entretien mais pas la lettre d'excuse de ne pouvoir être au dit entretien... Je sais pas comment cela va être prit... j'ai l'impression que tout est contre moi !

- L'entretien était vendredi matin (28) et je n'ai pas pu y aller : à 8h30 à 130km de mon domicile, dans leurs locaux non desservis par les transports.

Et maintenant j'attend mais je ne sais pas ce que je dois attendre...

30/11/2014 09:51

Mais tout cela semble toujours manquer de preuves...
D'autre part, c'est l'employeur qui organise l'employeur et pas les salariés qui les modifient à leur guise donc cela pourrait plutôt aller contre vous...
Par ailleurs, ce n'est pas vous qui pouvez vous mettre en arrêt mais le médecin traitant qui peut vous en prescrire un si votre état de santé le justifie, c'est donc une expression qui pourrait également se retourner contre vous...
J'ignore comment sont formulées vos lettres recommandées mais surtout la deuxième pourrait elle aussi se retourner contre vous et vos impressions peuvent s'avérer exactes...
Ce que vous devez attendre c'est justement la décision de l'employeur...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

30/11/2014 10:04

Nous les avions modifiés en lui disant pourquoi, elle avait dit oui mais qu'elle viendrait voir ça. Elle n'est venue que 3 semaines après, et quand le vigil est arrivé alors que mes collègues partaient en pause ça l'a ennervée (alors que sinon elles partaient mais le vigil n'était pas encore là avec ses horaires).

Ca faisait un moment qu'elle me savais pas dans mon assiette et ce jour là elle m'a dit d'un ton agressif d'aller voir mon médecin si ça llait pas, ce que j'ai fait. Il m'a mit en arret, puis a prolongé, et finalement je n'y suis pas retourné (chez le doc) car une collègue partait et l'autre allait se retrouver seule pour former 3 nouvelles et je ne voulais pas la laisser seule.
Quand je suis revenue elle m'a dit d'un ton moqueur "Alors, ton doc veut plus te faire d'arrêt ?? :p "

La seconde lettre recommandé (relue et corrigée par mon syndicat) est juste là pour prouver que j'ai informé mes supérieurs des agissements de ma gérante envers moi... Je sais qu'ils vont rien faire contre elle (entre amis...)

30/11/2014 10:18

Tout ce qui peut se dire n'apporte pas en lui-même de preuves à fournir pour pouvoir invoquer le harcèlement moral...
Soit vous pouvez travailler soit pas et dans ce cas cela justifie un arrêt-maladie qui ne doit pas être prolongé ou raccourci en fonction des circonstances...
Vous aurez beau pouvoir prouver que vous avez informé d'agissements de la gérante que cela ne signifie pas que vous pouvez prouver de leur réalité et cela peut vite se transformer en dénigrements infondés voire en dénonciation calomnieuse et il ne faudrait pas confondre votre propre défense avec une volonté de la voir être sanctionnée...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

30/11/2014 10:48

Je n'ai rien inventé de tout ça... :-(

30/11/2014 11:09

Je n'ai pas dit que vous aviez inventé mais encore faudrait-il être en mesure de pouvoir prouver, c'est la base même de toute procédure...
En plus, votre démarche est assez déroutante et votre stratégie contradictoire car apparemment, vous voudriez quitter l'entreprise donc à la limite, plutôt que d'envoyer des lettres recommandées à répétition et d'émousser votre défense, vous auriez pu tout simplement attendre le licenciement pour ensuite mieux le contester sans fournir par avance les éléments que vous pourriez invoquer et donner la voie à ce que ça puisse vous être reproché le motivant ainsi ou même faire renoncer l'employeur à le prononcer...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

30/11/2014 15:25

@pmtedforum,

Il serait un leurre de dire "les salariés acceptent toujours de témoigner". Ce que personne n'a dit ici. En revanche c'est tout aussi un leurre de dire que ce n'est pas possible et que cela ne sert à rien de l'envisager : vous ne pouvez pas fermer le champs des possibles sans connaître l'état d'esprit des salariés. Qu'elle est un refus, ok, mais si elle ne demande pas elle ne saura pas. De plus, les liens que j'avais transmis http://www.justice.gouv.fr/justice-penale-11330/le-delit-de-harcelement-moral-23635.html

http://www.etre-bien-au-travail.fr/travailler-en-equipe/articles/sachez-defendre-un-collegue-victime-de-harcelement-moral

http://www.officiel-prevention.com/protections-collectives-organisation-ergonomie/psychologie-du-travail/detail_dossier_CHSCT.php?rub=38&ssrub=163&dossid=403

font tous états de ces témoignages. Non, ils ne cherchent pas tous à leurrer l'internaute.

Marylodisme parlait, au moment de mon commentaire, de remontrance verbale à répétition, et ceci peut ressembler aussi à une mise au placard et donc a du harcèlement moral. Est-ce le cas ? Je ne sais pas, visiblement vous avez déjà noté que non, il n'y avait aucune trace. Mais j'espère que votre jugement ne se fait pas si rapidement juste à la simple lecture d'un message sur ce forum ! Je crois que ce site n'est pas là pour faire le jugement de son cas, mais pour lui donner des pistes dans sa situation. Et les pistes sont, à mon sens, qu'elle a besoin de preuve et qu'elles sont "les preuves possibles". Si vous voulez déjà lui dire ce qu'elle obtiendra ou n'obtiendra pas au regard de son mail, très bien, moi je lui conseillerai surtout de voir une maison de la justice ou un avocat avec son histoire et les preuves qu'elle aura pu accumuler et pour cela je me refuse à dire "c'est une preuve possible mais oubliez, trop difficile à obtenir" sans connaître sa relation avec ses collègues (en tout cas elle n'en avait pas fait état au moment de mon commentaire).
Enfin toujours au moment de mon commentaire, elle disait vouloir rester dans l'entreprise pour obtenir un CIF. Je n'ai pas vu le fait qu'elle était absente. Elle avait manqué son entretien préalable au licenciement, mais elle avait dit être aller au travail alors que sa responsable lui avait demandé de s'absenter. Enfin vous dites que sa stratégie est contradictoire mais je ne suis pas sûre qu'elle ait de stratégie de défense et je trouve ça assez rude de juger les gens ainsi, plutôt que de les conseiller peut-être un peu et de les inviter à allez voir un conseil, un avocat, une aide juridique, qui prendra le temps de parler et de comprendre la situation, de voir avec elle le champs des possibles et la stratégie à adopter. Parce que cela semble décourageant alors que ça se trouve elle a possibilité de défendre sa position seulement elle ne sait pas où jeter un oeil pour les récupérer.

30/11/2014 17:32

Il serait très étonnant que des salariés qui restent dans l'entreprise acceptent de témoigner pour ne pas risquer des mesures de rétorsion...
Traduire ceci comme vous le faites me paraît être de la plus grande des mauvaises foi...
Entre la théorie indiquée dans les liens et même les dispositions du Code du Travail, il y a ceq ue l'on constate dans la pratique...
L'intéressée parlait de remontrances verbales y compris au téléphone sans témoin direct donc non prouvables car ce n'est pas parce que des témoins aurait pu voir son visage se décomposer qu'à mon sens cela puisse prouver des propos que l'on lui tenait...
Je me garde bien d'apporter des Jugements sur ce forum car je ne saurais me substituer aux Juridictions mais je pense que comme tout intervenant pour émettre un avis et donner des pistes, il faut bien tenir compte avec attention des récits qui nous sont faits lorsque la personne demande de l'aider, je présume que c'est votre cas également...
Vous faîtes ce que vous voulez et moi aussi, le plus judicieusement possible et avec des propos beaucoup plus mesurés que vous ne le dîtes...
Si vous avez trouvé la solution pour qu'elle n'aille plus travailler à l'issue de son arrêt-maladie en étant sûre qu'elle ne sera pas licenciée jusqu'à la date où devrait commencer son CIF, ce sera intérêt sans doute qu'elle pourra lire votre commentaire toujours très avisé plutôt que de polémiquer sur les miens sachant qu'elle est déjà allé voir apparemment des membres d'une organisation syndicale et que je n'avais pas besoin de lui suggérer...
Personnellement et contrairement à vous, j'attends le motif du licenciement qui reste éventuel pour le moment avant de prétendre qu'elle n'a aucun moyen de défense mais en tout cas une stratégie à observer jusque là mais évidemment sans la juger...
Je me permets simplement de noter que la conclusion de votre message est également contradictoire puisque pratiquement dans la même phrase vous indiquez : "je ne suis pas sûre qu'elle ait de stratégie de défense" puis "de voir avec elle le champs des possibles et la stratégie à adopter" et encore "ça se trouve elle a possibilité de défendre sa position"...
__________________________
Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

30/11/2014 22:41

Il n'y a aucune contradiction, il me semble surtout que vous lisez en diagonale tant mes messages que les siens.
Pour ne pas faire comme vous, je me permets de remettre les phrases en entier : je dis en effet qu'il ne sert à rien de critiquer sa stratégie comme vous l'avez fait, sachant que "je ne suis pas sûr" (vous noterez le conditionnel) qu'elle ait de stratégie et je dis ensuite que le conseil serait, dans un premier temps, voir quelles preuves elle pourrait récolter et en parallèle d'aller voir une aide en maison de la justice ou un avocat, avec qui elle pourra avancer en direct et voir qu'elle stratégie elle pourra adopter (vous noterez qu'il s'agit là d'une autre étape) ! Et que ça se trouve, avec les différents éléments qu'elle a à disposition, et avec son avocat, elle aura assez pour défendre sa position (vous noterez là qu'il s'agit encore une fois d'une nécessité de prudence dans les conseils, car nous n'avons pas nécessairement tous les éléments pour nous montrer aussi affirmatif que vous semblez l'être sur sa stratégie).
Vous dites ne pas la juger mais depuis le début et jusqu'à la fin (je cite "En plus, votre démarche est assez déroutante et votre stratégie contradictoire car apparemment, vous voudriez quitter l'entreprise donc à la limite, plutôt que d'envoyer des lettres recommandées à répétition et d'émousser votre défense, vous auriez pu tout simplement attendre le licenciement pour ensuite mieux le contester sans fournir par avance les éléments que vous pourriez invoquer et donner la voie à ce que ça puisse vous être reproché le motivant ainsi ou même faire renoncer l'employeur à le prononcer...") vous êtes bien plus dans le jugement de ce qu'elle a fait, plutôt que dans ce qui pourrait être fait.
Vous ne savez pas si les témoins ont pu voir d'autres choses. Elles non plus tant qu'il n'y a pas eu de demande de témoignages. "Si vous trouvez une solution pour qu'elle n'aille plus travailler..." là est le problème : je ne propose aucune solution sinon des pistes de réflexions, quand visiblement sans connaitre le dossier et ses acteurs vous savez déjà ce qui est inutile et utile. Alors oui, au lieu de polémiquer sur les commentaires des gens, il me semble qu'il y a clairement un besoin de mesure. Enfin selon vous j'aurai dit qu'elle n'a aucun moyen de défense ? A quel moment ai-je dit cela ? J'ai dit que Marylodisme n'avait peut-être pas envisagé de stratégie, pour vous signifier qu'il ne sert à rien de critiquer ladite stratégie. Elle a probablement des moyens de faire valoir ses droits et elle doit se préparer à cela. Seulement, elle, seule, n'a peut-être pas envisagée comment, car elle n'a pas connaissance de ses droits en tant que salariée. (d'où l'idée de lui dire de se rapprocher de personnes compétentes et de lui donner des pistes pour les preuves, peut-être trop large pour vous, mais qui font partie du champs des possibles.)
Je me permets d'en faire preuve en voyant les choses de manière large mais, je pense que de votre côté oui, il manque la mesure de se dire "c'est prévu par la loi, est-ce que cela s'applique à son cas, sachant que je ne connais que ce que celle-ci formule sur un site internet" devrait s'appliquer, plutôt que de s'intéresser au post des autres en disant "c'est inutile" ou "ça ne fonctionnera pas" ou la juger sur ce qu'elle aurait du faire. La solution, j'espère que vous en avez bien conscience, personne ne l'aura. Concernant son arrêt maladie, c'est son médecin ou le médecin du travail qui donnera la réponse, si elle est apte ou non à retourner travailler. Si la réponse est "oui", pour moi, la question ne se pose même pas, surtout si elle-même refuse de se mettre en abandon de poste. Mais je ne polémique pas sur votre commentaire, je réponds à votre polémique qui concernait le miens sur le fait que les salariés pourraient ne pas vouloir témoigner. A part enfoncer des portes ouvertes, il ne servait à rien, sauf dissuader de le faire, or, lorsqu'on manque de preuve, il n'est pas mal de d'abord savoir qu'elles peuvent être ces preuves et qui sait, si une des sources se concrétise avec des éléments concret, alors tant mieux.

30/11/2014 22:51

Je vais essayer d'aller consulter un avocat en début de semaine...

Sincèrement, je suis pas sûre de ce que je veux : rester pour tenter de faire passer mon dossier au Fongécif, ou me faire licencier et enfin ne plus avoir à y aller... sachant que du coup il faudra que je trouve les 9000€ pour ma formation...

30/11/2014 22:55

Dans tous les cas je risque.

1/ que mon dossier Fongécif soit refusé pour le premier cas, et que je sois donc resté dans l'entreprise pour rien... mais que j'y soit toujours car pas vraiment de moyens de partir...

2/ que je me fasse virer et cherche cet argent pour ma formation, ou démissionne et n'ai ni chômage ni argent pour ma formation...

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