Négligences, vices et irrégularités des contrats de prêt immobilier comme moyens de défense

Publié le Modifié le 20/03/2017 Vu 65 362 fois 128
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Parce que l’accession à la propriété n’est pas sans risque lorsqu’elle se fait au moyen d’un crédit immobilier, le législateur érige depuis 2010 de nombreuses obligations et formalités à la charge des banques.

Parce que l’accession à la propriété n’est pas sans risque lorsqu’elle se fait au moyen d’un crédi

Négligences, vices et irrégularités des contrats de prêt immobilier comme moyens de défense

Ainsi, l’endettement bancaire et le crédit immobilier font l’objet de dispositions spéciales dans le Code de la consommation.

Les contrats de prêt bancaire et de crédit immobilier sont soumis au respect des règles posées par les articles L. 312-2 et suivants du Code de la consommation.

Ces dispositions sont autant de commandements dont le respect s’impose aux banques et aux organismes de crédits immobiliers.

Ces commandements sont autant d’arguments de défense ou moyens de négociation offerts aux emprunteurs dans le cadre de leurs litiges ou contentieux avec leur banque, dans le cadre du remboursement de leur crédit.

L’analyse de chaque contrat et de l’historique de chaque relation bancaire permet de révéler dans de nombreuses situations l’existence de négligences et manquements de la part des professionnels du crédit immobilier. Le cas échéant, l’emprunteur peut mettre en cause la responsabilité de la banque et réduire, voire annuler son engagement vis-à-vis de cette dernière.

Ces commandements sont présentés ci-après selon la chronologie de l’offre et de l’octroi du prêt.

Le premier commandement : les emprunteurs, personnes physiques, n'agissant pas pour des besoins professionnels, ne peuvent en principe pas contracter de prêts libellés dans une devise étrangère à l'Union européenne remboursables en monnaie nationale.

Le deuxième commandement : tout document remis à l'emprunteur préalablement à la formulation de l'offre de prêt comportant un ou plusieurs éléments chiffrés sur l'assurance de groupe doit mentionner le coût de cette assurance à l'exclusion de tout autre taux, en taux annuel effectif de l'assurance, qui permette la comparaison par l'emprunteur de ce taux avec le taux effectif global annuel, en montant total en euros dû par l'emprunteur au titre de l'assurance sur la durée totale du prêt, en euros et par période, selon la périodicité de paiement et précisant si ce montant s'ajoute ou non à l'échéance de remboursement du crédit.

Le troisième commandement : simultanément à la remise de tout document, la fiche standardisée d'information doit être remise ainsi que la notice énumérant les risques garantis et précisant toutes les modalités de la mise en jeu de l'assurance.

Le quatrième commandement: lors de la première simulation, une fiche standardisée d'information est remise à toute personne qui se voit proposer ou qui sollicite une assurance ayant pour objet de garantir le remboursement d'un prêt mentionnant la possibilité pour l'emprunteur de souscrire auprès de l'assureur de son choix une assurance et précisant les types de garanties proposées.

Le cinquième commandement : la banque prêteuse est tenue de formuler par écrit une offre adressée gratuitement par voie postale à l'emprunteur ainsi qu’aux cautions personnes physiques éventuellement déclarées par l'emprunteur.

Le sixième commandement : la banque prêteuse est tenue de mentionner dans son offre de prêt l'identité exacte des parties et éventuellement des cautions déclarées ainsi que la nature, l'objet, les modalités du prêt, notamment celles qui sont relatives aux dates et conditions de mise à disposition des fonds.

Le septième commandement : lorsque le taux d'intérêt du crédit est fixe, la banque prêteuse est tenue de préciser dans son offre de prêt l’échéancier des amortissements détaillant pour chaque échéance la répartition du remboursement entre le capital et les intérêts.

Le huitième commandement : lorsque le taux d'intérêt du crédit est variable, la banque prêteuse est tenue de communiquer avec son offre de prêt une notice présentant les conditions et modalités de variation du taux d'intérêt et un document d'information contenant une simulation de l'impact d'une variation de ce taux sur les mensualités, la durée du prêt et le coût total du crédit. Le document d'information doit mentionner le caractère indicatif de la simulation et l'absence de responsabilité du prêteur quant à l'évolution effective des taux d'intérêt pendant le prêt et à son impact sur les mensualités, la durée du prêt et le coût total du crédit.

Le neuvième commandement: la banque prêteuse est tenue d’indiquer à l’emprunteur dans son offre, outre le montant du crédit susceptible d'être consenti, et, le cas échéant, celui de ses fractions périodiquement disponibles, son coût total, son taux effectif global (TEG) intégrant les frais, commissions ou rémunérations de toute nature, directs ou indirects, y compris ceux qui sont payés ou dus à des intermédiaires intervenus de quelque manière que ce soit dans l'octroi du prêt, même si ces frais, commissions ou rémunérations correspondent à des débours réels ainsi que, s'il y a lieu, les modalités de l'indexation du taux. A cet égard, il est aussi important de souligner que le calcul des intérêts dus en exécution du taux ne peut être valablement effectué que sur la base de 365 jours et non de 360 jours (année de 360 jours = année lombarde).

Le dixième commandement : la banque prêteuse doit indiquer à l’emprunteur dans son offre les stipulations, les assurances et les sûretés réelles ou personnelles exigées, qui conditionnent la conclusion du prêt, en donnant une évaluation de leur coût.

Le onzième commandement : la banque prêteuse doit mentionner dans son offre de prêt que l'emprunteur peut souscrire auprès de l'assureur de son choix une assurance, les conditions requises pour un transfert éventuel du prêt à une tierce personne et les dispositions de l'article L. 312-10 du Code de la consommation.

Le douzième commandement : toute modification des conditions d'obtention d'un prêt dont le taux d'intérêt est fixe, notamment le montant ou le taux du crédit, doit donner lieu à la remise à l'emprunteur d'une nouvelle offre préalable.

Le treizième commandement : l'offre soumise à l'acceptation de l'emprunteur et des cautions, personnes physiques, déclarées ne peut être acceptée que dix jours après qu'ils l'aient reçue, par lettre, le cachet de la poste faisant foi. La violation de cette obligation par la banque est punie d'une amende de 150 000 euros, conformément aux dispositions de l’article L. 312-33 du Code de la consommation et entraine la déchéance du droit aux intérêts.

Le quatorzième commandement : en cas de prêts à taux variable, le prêteur est tenu, une fois par an, de porter à la connaissance de l'emprunteur le montant du capital restant à rembourser. La violation de cette obligation par la banque est punie d'une amende de 150 000 euros, conformément aux dispositions de l’article L. 312-33 du Code de la consommation et entraine la déchéance du droit aux intérêts.

Le quinzième commandement : un banquier ne peut pas faire souscrire de prêts immobilier ou d’engagements de cautions, sans que l’acceptation à l’offre de prêt ne comporte de date ou comporte une date fausse de nature à faire croire qu'elle a été donnée après expiration du délai légal de dix jours, sous peine d'une amende de 300 000 euros et d’être déchu du droit aux intérêts.

Toute contestation sur le crédit immobilier se prescrit au terme d’un délai de 20 ans à compter de la conclusion du prêt ou 5 ans à compter du règlement de la dernière.

Enfin, il convient de garder en mémoire que l’assurance juridique peut souvent permettre à l’emprunteur de confier son dossier à un avocat spécialisé en droit bancaire afin de faire un audit de son dossier et d’assurer la défense de ses intérêts en cas de négociation ou de contentieux avec sa banque.

Je suis à votre disposition pour toute action ou information (en cliquant ici).

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Anthony Bem
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1 Publié par Visiteur
07/10/2017 03:50

Bonsoir Maître,

Pour mon crédit immobilier j'ai bénéficié d'une suspension de 2 ans avec prolongement d'autant par ordonnance de référé : "Ordonne la suspension des obligations de Mme .. telles qu’elles résultent des contrats de prêt pendant un délai de deux ans à compter de ce jour"
"Dit que les sommes dues ne produiront pas intérêt pendant le cours du délai de grâce et que le remboursement du prêt sera prolongé d’autant"
Dès lors, l'organisme a traité cette suspension comme un impayé, éditant les tableaux d'amortissement jusqu'au terme initial et non pas prolongés de 2 ans avec mention du genre : "Conformément à notre accord, et afin de vous aider à surmonter vos difficultés actuelles de règlement, nous procédons, à titre tout à fait exceptionnel au report de paiement du retard accumulé à ce jour, soit 16 267,24 EUR, jusqu'à la date du 01/05/17." Ce, malgré mes différents rappel au contenu de l'ordonnance et à la transmission de la-dite ordonnance. De plus, selon les courriers le montant total est différent.
Je m'attendais donc à une demande de leur part au mois de mai dernier de la totalité de la somme, et à devoir leur adresser de nouveau l'ordonnance.
Il semble qu'ils veuillent faire pire !
Depuis plusieurs années, du fait de problèmes de santé avec mise en invalidité par la CPAM, c'est l'assurance qui prend en charge les mensualités.
Au mois de mai, je vois sur mon de compte de banque (pas banque du prêt) l'avis de prélèvement de ma mensualité arriver avec une augmentation sans motif ni courrier préalable d'explication. Je fais opposition à ce prélèvement.
Je reçois un courrier me demandant de régler cette somme. Je téléphone au servie client interface avec l'assurance pour demander le motif de cette échéance augmentée. On me répond que c'est lié aux 2 années de suspension. Je précise les termes de l'ordonnance "les sommes dus ne produiront pas d'intérêt" et demande pourquoi je n'ai pas reçu la lettre chèque en remboursement de la mensualité d'avril qui a bien été prélevée (L'organisme me prélève, je lui adresse mes justificatifs CPAM. Il le transmet à l'assurance, laquelle le rembourse et enfin, l'organisme m'envoie une lettre chèque du montant prélevé. Je n'ai jamais eu affaire directement avec l'assurance)
Réponse de mon interlocuteur, "Comme les 2 années de suspension concerne une période pdt laquelle vous n'étiez pas en invalidité, l'assurance ne va probablement pas couvrir l'équivalent de ces sommes". Je lui dit alors que s'ils ont transmis à l'assureur les même tableaux d'amortissement qu'ils m'ont adressés ces dernières années avec un terme à mai 2017, ce n'était pas surprenant mais qu'ils avaient commis une faute, l'ordonnance prolongeant mon crédit. Et je lui demande de me préciser tout cela par écrit, ce que je n'ai pas reçu, malgrè son engagement verbal.

Depuis, malgré de nombreux échanges de courriers (je ne veux plus leur répondre par téléphone), je n'arrive pas à obtenir de véritable motif de l'augmentation de l'échéance de mai, ni à avoir par écrit cette soi-disant décision de l'assurance et encore moins une référence à l'ordonnance dont je leur ai de nouveau transmis une copie. Que ce soit dans mes échanges avec le service client interface avec l'assurance ou avec le service recouvrement qui a pris le relai. J'en conclu qu'ils ne veulent rien écrire sur ces sujet, se sachant en défaut vis à vis de l'ordonnance.

Le service recouvrement se fait plus pressant et vient, ce jour, de m'adresser un courrier en RAR s'en tenir compte de mes réponses et demande d'explications et détails :
"Vous n'avez pas réglé les sommes impayées dans le délai imparti par notre mise en demeure du 14/09/17 dernier.
Votre crédit est devenu exigible par anticipation et vous devez désormais nous régler la somme de 16 458,13 euros suivant décompte arrêté au 04/10/17, outre les intérêts jusqu'à parfait réglement.
Nous vous alertons sur les conséquence qui peuvent en découler notamment en matière de procédures judiciaires.
Dans cette optique, vous allez recevoir la visite d'un expert (à moins que ce ne soit pas déjà fait).
Vous devez nous contacter au ..."

La somme totale est encore différente des précédentes (et ne correspond pas au total de 24 mensualités actuelles).

Pouvez-vous, svp, m'indiquer quelles sont leurs obligations de procédures avant de rendre effectivement le "crédit exigible par anticipation" ?
Savez-vous de quel "expert" il peut-être question, son rôle et ses prérogative ? (je m'attendais à lire huissier, mais non, c'est bien expert qu'il est écrit)

Enfin, ma protection juridique, que je n'ai pas réussi à joindre aujourd'hui, m'a conseillé il y a quelques jours de prendre contact avec un avocat pour un avis plus éclairé et est prête à s'engager sur les frais relatifs à mon dossier. Accepteriez-vous de travaillez dans ce cadre de prise en charge ? Précision, je suis dans la région bordelaise et ne peux me déplacer, le service recouvrement de mon organisme bancaire se trouve en île de France et son service client en Loire Atlantique et je ne sais pas, s'il devait y avoir une procédure judiciaire, dans quelle juridiction elle se déroulerait selon si c'est l'organisme qui entame la procédure ou si c'est moi.

Je suis désolée de la longueur de ce message et vous remercie de votre réponse

2 Publié par Maitre Anthony Bem
07/10/2017 13:37

Bonjour coise,

Aant de rendre effectivement le "crédit exigible par anticipation" la banque doit adresser par LRAR une mise en demeure de payer, dans un délai, avec seulement le montant des échéances impayées et non l’intégralité du prêt, indiquant qu’à defaut de règlement la déchéance du terme du prêt sera prononcée.

Je pourrai éventuellement prendre en charge votre dossier mais avant cela et afin de me permettre de prendre connaissance de votre situation personnelle en détail et de disposer de toutes les informations nécessaires pour vous répondre en toute connaissance de cause, je vous propose de me contacter en privé pour une consultation.

A cet égard, je vous invite à choisir l’une de mes différentes modalités de consultation en cliquant sur « consultation » en haut de cette page.

Cordialement.

3 Publié par Visiteur
07/10/2017 14:12

Bonjour Maître,

Merci pour votre réponse rapide.

En fait, j'ai bien reçu le 1er RAR avec seulement l'échéance, d'où dans leur dernière lettre : "Vous n'avez pas réglé les sommes impayées dans le délai imparti par notre mise en demeure du 14/09/17 dernier." Mais de mon côté, je n'ai reçu aucune explication à mes différents RAR (le 1er adressé avant le leur).
Ma question portait à partir de maintenant, c'est à dire de leur courrier m'indiquant que le crédit devenait exigible par anticipation. Quel va être le cheminement que la banque va/devrait suivre ? Et quel est cet "expert" dont il est question ?

Merci pour votre éclairage sur ces 2 points

Je fais part de nos échanges à ma protection juridique dès lundi et vous tiens au courant de la suite.

Cordialement

4 Publié par Visiteur
30/11/2017 17:51

Bonjour Maitre,
ma socièté a contracté un pret d'un local commercial
auprès d'une banque qui n'a jamais fourni de tableau d'amortissement. Il a fallu faire intervenir le médiateur bancaire pour avoir ce tableau d'amortissement 3 années après dans lequel ne figure pas l'assurance alors que la socièté l'a payé.
peut on se retourner contre cette banque ?

5 Publié par Visiteur
03/12/2017 12:01

Merci pour votre réponse rapide.
Cordialement.

6 Publié par Visiteur
04/12/2017 00:35

bonjour maitre

j'ai souscrit un prêt en 2012, et en 2014 j'ai demandé la suspension de 12 mensualité du prêt immobilier qui est une clause du contrat de prêt initial

a la suite de cela il m'a donc fallu contacter l'assurance obligation du prêt (délégation d'assurance) pour actualiser la cotisation d'assurance du prêt en tenant compte de cet allongement de la durée du crédit.

Ma cotisation d'assurance a augmenté du fait de cette suspension de pret

La banque m'a fait signé moi et mon époux un document comme quoi qu'elle était ok pour suspendre les échéances et m'a envoyé un nouvel échéancier ou figure les intérêt relatifs à la suspension du prêt

mes questions sont
1/ ce document que ma banque m'a fait signé, s'agit il "de fait" d'un avenant au prêt (la mention avenant ne figure pas sur le document) ?

2/ et surtout, est ce que la banque était tenu de me communiquer un nouveau TEG sur la base du nouvel échéancier de remboursement qu'elle m'a communiquée, et actualisé de la nouvelle cotisation d'assurance obligatoire sur les échéances à venir, compte tenu que l'assurance des capitaux a augmenté du fait de cette suspension de prêt ?

par avance merci de votre réponse

7 Publié par Maitre Anthony Bem
04/12/2017 07:45

Bonjour juju,

Il y aurait dû en effet y avoir un avenant.

Afin de me permettre de prendre connaissance de votre situation personnelle en détail et de disposer de toutes les informations nécessaires pour vous répondre en toute connaissance de cause, je vous propose de me contacter en privé pour une consultation.

A cet égard, je vous invite à choisir l’une de mes différentes modalités de consultation en cliquant sur « consultations » en haut de cette page.

Cordialement.

8 Publié par Visiteur
14/12/2017 12:23

Bonjour Maître
En arrêt de travail depuis le 1er janvier, intervention chirurgicale rachis lombaire, j'avais obtenu de ma banque un avenant m'accordant pour une période de 9 mois un remboursement des interets d'emprunts Pro (artisan fleuriste)
Jusqu'à novembre les assurances fonctionnaient tres bien
J'ai reçu l'accord du medecin conseil de ces assurances (groupe de mon organisme bancaire) pour ma prolongation
Cependant les assurances refusent de s'aligner au tableu d'emprunt du contrat initial et restent sur un remboursement de l'avenant sans accepter les échéances actuelles passées au capital et interets
Est ce normal que la cbp ne s'aligne pas sur le contrat initial passé le délai de carence des 90 jours? Je précise qu'il s'agit de prêts prof
Je suis dans l'inquiétude

9 Publié par Visiteur
14/12/2017 13:28

Arganne29ste
J'apporte une précision : un emprunt est immobilier ( SCI murs de mon commerce)
L'autre travaux d'aménagement intérieur
Bien cordialement

10 Publié par Visiteur
14/01/2018 17:07

Bonjour Maître,

J'ai fait une renégociation de mon crédit immobilier avec ma banque. Celle ci a édité un tableau d'amortissement. Le premier prélèvement ne correspond pas à celui ci (50€ de plus environ). Est ce normal ?
Bien cordialement

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