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UN DECRET DU 21 SEPTEMBRE 2012 POUR L'EXONERATION DE LA PLUS-VALUE D'UNE RESIDENCE SECONDAIRE.
UN DECRET DU 21 SEPTEMBRE 2012 POUR  L'EXONERATION DE LA PLUS-VALUE D'UNE RESIDENCE SECONDAIRE.
Publié le 02/10/12 par Maître HADDAD Sabine

Un Décret n° 2012-1073 du 21 septembre 2012 vient indiquer les mentions devant figurer dans l’acte de cession d’un bien immobilier bénéficiant à raison de la plus-value réalisée de l’exonération d’impôt sur le revenu au titre de la première cession d’un logement sous condition de remploi du prix de cession à l’acquisition de la résidence principale.

L'acte notarié comportant une irrégularité formelle n'est pas un titre exécutoire
L'acte notarié comportant une irrégularité formelle n'est pas un titre exécutoire
Publié le 25/09/12 par Maître Matthieu PUYBOURDIN

Par cinq arrêts en date du 7 juin 2012, la Cour de cassation a considéré que, l'acte notarié ne mentionnant pas le dépôt des procurations au rang des minutes du notaire, perd son caractère authentique et sa qualité de titre exécutoire. Dès lors, en l'absence de titre exécutoire, le créancier ne peut engager des poursuites de saisie immobilière et l'oblige à solliciter du juge l'autorisation de pratiquer une mesure conservatoire.

L'expulsion : les règles relatives au procès-verbal d’expulsion
L'expulsion : les règles relatives au procès-verbal d’expulsion
Publié le 20/09/12 par Maître Joan DRAY

En principe, l'article 61 de la loi n° 91-650 du 9 juillet 1991 dispose que sauf dispositions spéciales aucune expulsion ne peut avoir lieu sans une décision de justice ou un procès-verbal de conciliation exécutoire. Si l’expulsion est effectuée alors qu’il n’y a pas de décision de justice, cela constitue une violation de domicile. L’expulsé pourra obtenir sa réintégration. Les opérations d'expulsion sont effectuées par un huissier de justice choisi par le propriétaire du bien immobilier parmi ceux dans le ressort desquels est situé l'immeuble. Très souvent, il arrive que la personne expulsée conteste les opération d'expulsion au motif qu'elle n'aurait pas été informée régulièrement de ses droits. Cet article rappelle la procédure applicable.

La servitude légale de passage conditionnée aux contraintes urbanistiques et environnementales
La servitude légale de passage conditionnée aux contraintes urbanistiques et environnementales
Publié le 20/09/12 par Anthony BEM

Le 5 septembre 2012, la Cour de cassation a jugé que le tracé d'une servitude légale de passage censée désenclaver une parcelle suppose que soit rechercher par les juges si ce tracé est bien compatible avec les contraintes urbanistiques et environnementales applicables au fonds servant (Cass. Civ. III, 5 septembre 2012, n°11-22276).

Nullité d'actes de prêt contractés par une société étrangers à son objet ou contraires à son intérêt
Nullité d'actes de prêt contractés par une société étrangers à son objet ou contraires à son intérêt
Publié le 19/09/12 par Anthony BEM

Le 12 septembre 2012, la Cour de cassation a jugé que le cautionnement même accordé par le consentement unanime des associés n'est pas valide s'il est contraire à l'intérêt social (Cass. Civ.III, 12 septembre 2012, N° de pourvoi: 11-17948).

Le droit à la libre disposition d'un lot de copropriété : un droit non absolu
Le droit à la libre disposition d'un lot de copropriété : un droit non absolu
Publié le 17/09/12 par Maître Joan DRAY

Le lot de copropriété est, comme tout bien immobilier, à la libre disposition du propriétaire. Ce dernier peut décider de le céder à titre onéreux ou gratuitement. La cession porte sur la quote part des parties communes et les parties privatives. Une clause du règlement de copropriété ne peut pas interdire la vente, cession d'un lot ou contraindre un copropriétaire à vendre son bien dans le cas où il aurait commis une infraction grave audit règlement (TGI Grenoble 6 avril 1964). Le principe de libre disposition connait certaines limites :

Propriété d’un bien immobilier démembré : charge des travaux entre usufruitiers et nu-propriétaires
Propriété d’un bien immobilier démembré : charge des travaux entre usufruitiers et nu-propriétaires
Publié le 16/09/12 par Anthony BEM

Le 12 juin 2012, la chambre commerciale de la Cour de cassation a jugé que lorsque la propriété d’un bien immobilier est démembrée, seules les grosses réparations demeurent à la charge du nu-propriétaire et que l’usufruitier peut en déduire les dépenses de son impôt de solidarité sur la fortune (ISF) (Cass. com., 12 juin 2012, n° 11-11424).

L’interdépendance du crédit immobilier avec le contrat principal : une protection accrue du consomma
L’interdépendance du crédit immobilier avec le contrat principal : une protection accrue du consomma
Publié le 07/09/12 par Maître Joan DRAY

En droit commun, le principe est celui de l’indépendance des contrats. Cependant, afin de protéger la partie faible, le code de la consommation prévoit une interdépendance du contrat de crédit immobilier avec le contrat principal. En effet, le législateur a voulu éviter que le consommateur paye un crédit alors qu’il n’a pas pu acquérir l’immeuble. Ou, inversement, qu’il acquiert un bien immobilier alors qu’il n’a pas obtenu les fonds nécessaires. Le législateur a prévu deux techniques afin de réaliser cette interdépendance.

La cession du droit au bail commercial déguisée en cession de fonds de commerce
La cession du droit au bail commercial déguisée en cession de fonds de commerce
Publié le 02/09/12 par Anthony BEM

Il arrive fréquemment que le locataire d’un local commercial décide de céder son droit au bail en se passant de l’autorisation ou de l’accord de son bailleur, par le biais d’une cession de fonds de commerce « déguisée » ou « maquillée ». Mais cette opération n’est pas sans risques puisque le bailleur peut en obtenir l’annulation, une indemnisation des préjudices subis voir même la résolution du bail pour non respect des clauses contractuelles.

Lorsque le rappel des loyers et charges par le bailleur à son locataire dégénère en faute et dommage
Lorsque le rappel des loyers et charges par le bailleur à son locataire dégénère en faute et dommage
Publié le 26/08/12 par Anthony BEM

Le 21 mars 2012, la Cour de cassation a jugé la demande de régularisation du loyer et des charges sur une période écoulée de cinq ans de la part du bailleur, bien que juridiquement recevable et exacte dans son calcul, peut être déloyale, brutale, constitutive d'une faute dans l'exécution du contrat et violer l'obligation légale de régularisation annuelle des charges pesant sur ce dernier et par voie de conséquence engager sa responsabilité envers la locataire et sa caution solidaire pour le dommage occasionné (Cass. Civ. III, 21 mars 2012, N° de pourvoi: 11-14174).

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