Articles pour la catégorie : droit des entreprises

Articles des blogs juridiques pour la catégorie : droit des entreprises

Sanction du dénigrement commercial attentatoire à la réputation sur internet et les réseaux sociaux
Sanction du dénigrement commercial attentatoire à la réputation sur internet et les réseaux sociaux
Publié le 05/08/11 par Anthony BEM

Le 26 juillet 2011, le tribunal de commerce de Paris a, pour la première fois, ordonné la publication du jugement rendu, en faveur de la société Référencement.com, sur internet, dans la presse papier et surtout sur le réseau social Twitter à la suite de commentaires dénigrants (Tribunal de commerce de Paris, 26 juillet 2011, Référencement.com / Zlio, inédit).

Définition juridique de l'apport en compte courant d'associés
Définition juridique de l'apport en compte courant d'associés
Publié le 24/07/11 par Anthony BEM

L'apport en compte courant d'associé est un type d'apport particulier dont le remboursement, possible en principe à tout moment, peut donner lieu à contentieux.

Principe de liberté d'établissement et méthodes d'évaluation des titres de sociétés non cotées
Principe de liberté d'établissement et méthodes d'évaluation des titres de sociétés non cotées
Publié le 14/07/11 par Soufiane JEMMAR

En l’absence de justification valable, les articles 52 du traité CEE (devenu article 52 du traité CE, lui-même devenu, après modification, article 43 CE) et 58 du traité CEE (devenu article 58 du traité CE, lui-même devenu article 48 CE) s’opposent à l’application d’une législation fiscale d’un État membre en ce que, dans le cadre de l’évaluation de parts non cotées d’une société de capitaux dans des circonstances telles que celles de l’affaire au principal, elle a pour effet d’attribuer une valeur plus élevée à la participation de cette société au capital d’une société de personnes établie dans un autre État membre qu’à sa participation dans une société de personnes établie dans l’État membre concerné, pourvu, toutefois, qu’une telle participation soit de nature à lui conférer une influence certaine sur les décisions de la société de personnes établie dans un autre État membre et à lui permettre d’en déterminer les activités.

La déclaration de créances par un tiers
La déclaration de créances par un tiers
Publié le 13/07/11 par Maître Joan DRAY

L’importance de la déclaration des créances à la procédure collective d’un débiteur a déjà été soulignée et on ne saurait trop y insister. Cependant, la qualité de la personne effectuant la déclaration ne devrait pas être négligée non plus, car elle emporte des conséquences au niveau de la régularité de cette dernière. Lorsque c’est le créancier qui dépose la déclaration en personne, aucune difficulté ne se présente. Celle-ci s’élève si c’est un tiers qui y procède pour le compte dudit créancier. La Cour de Cassation a rendu un arrêt extrêmement important à ce sujet, en formation plénière (Ass.plén. 4 février 2011 (09-14.619)).

Dessins et modèles : L’action en contrefaçon
Dessins et modèles : L’action en contrefaçon
Publié le 11/07/11 par Murielle Cahen

Quelles sont les conditions d’exercices de l’action en contrefaçon ? Qui a la qualité pour agir ? Quels sont les actes sanctionnés ? Quelles sont les règles procédurales à respecter ? Quelles sont les sanctions ?

CESSION DE FONDS DE COMMERCE: QUAND TOUCHER LE PRIX ?
CESSION DE FONDS DE COMMERCE: QUAND TOUCHER LE PRIX ?
Publié le 11/07/11 par Maître HADDAD Sabine

Suite à la cession d'un fonds de commerce, il faut compter avec les délais d'indisponibilité du prix,destinés à assurer la sécurité juridique de la transaction. Comment se déroulent les choses ?

Création de société en Israel
Création de société en Israel
Publié le 10/07/11 par Emmanuel Charbit, Avocat

Créer une société en Israël est assez simple et demande peu de documentation, cependant il est nécessaire de respecter certaines règles de forme et de fond. L'équivalent israélien de la société à responsabilité limitée (SARL) est la société Ba''am (בע״מ). Pour être constituée, la société devra être inscrite au Registre des Sociétés israéliennes, le Rasham HaHaverot, situé à Jérusalem.

Les dettes des cautions dirigeantes ouvrent droit à la procédure de surendettement personnel
Les dettes des cautions dirigeantes ouvrent droit à la procédure de surendettement personnel
Publié le 05/07/11 par Anthony BEM

Le 2 décembre 2010, la deuxième chambre civile de la Cour de cassation a rendu une importante décision concernant les dirigeants qui se portent caution de leur société en jugeant que « l’'impossibilité manifeste pour une personne physique de bonne foi de faire face à l'engagement qu'elle a donné de cautionner la dette d'une société, qu'elle en ait été ou non la dirigeante, caractérise une situation de surendettement » (Cass. Civ. II, 2 décembre 2010, n° de pourvoi: 09-67503)

La valeur d’apport d’un fonds de commerce ne correspond pas nécessairement à sa valeur vénale
La valeur d’apport d’un fonds de commerce ne correspond pas nécessairement à sa valeur vénale
Publié le 04/07/11 par Soufiane JEMMAR

Les dispositions de l'article 38 quinquies de l'annexe III au CGI, dans sa rédaction applicable à l'année d'imposition en litige, ne font pas obstacle à ce que des immobilisations apportées par des tiers à une société soient inscrites au bilan pour une valeur différente de leur valeur vénale. Dès lors, la valeur d'apport d’un fonds de commerce peut ne pas correspondre nécessairement à sa valeur vénale.

La valeur des parts d’un navire sinistré ne correspond pas au montant des indemnités d’assurance
La valeur des parts d’un navire sinistré ne correspond pas au montant des indemnités d’assurance
Publié le 29/06/11 par Soufiane JEMMAR

La valeur réelle des parts d’un navire ne peut être déterminée par référence à la valeur déclarée dans le contrat d’assurance dans la mesure où le navire avait subi une avarie qui en avait nécessairement diminué la valeur vénale réelle à la date de la cession des parts. L’administration fiscale ne saurait, ainsi, se borner à soutenir que la valeur vénale de chacune des parts correspondait au seul montant de l’indemnité d’assurance versée à la suite du sinistre et ne peut, par ce biais, être regardée comme apportant la preuve qui lui incombe, de ce que la société aurait cédé un élément d’actif à un prix inférieur à sa valeur vénale réelle.

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