Articles pour la catégorie : droit des entreprises

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QUAND LE GERANT DE SOCIETE DEVIENT RESPONSABLE
QUAND LE GERANT DE SOCIETE DEVIENT RESPONSABLE
Publié le 05/10/12 par Maître HADDAD Sabine

Comment fonctionne la responsabilité du gérant ?

La responsabilité civile des dirigeants sociaux
La responsabilité civile des dirigeants sociaux
Publié le 04/10/12 par Maître Joan DRAY

La fonction de dirigeant consiste à diriger, administrer, surveiller et exploiter une ou plusieurs activités. Lors de l’exercice de cette fonction, la responsabilité de la société peut être engagée, mais aussi, dans certains cas, la responsabilité civile personnelle du dirigeant. L’action en responsabilité civile du dirigeant pourra avoir aussi bien un fondement contractuel que délictuel. L’article 1843-5 du Code civil a pour objet la responsabilité civile des dirigeants. Pour les différentes sociétés commerciales, des dispositions du Code de commerce sont applicables : • Pour les SARL : arts. L.223-22 et L.223-24 du Code de commerce • Pour les sociétés par actions : arts. L.225-249 à L.225-254 du Code de commerce La responsabilité civile des dirigeants sociaux suppose la réunion des conditions de la mise en cause de la responsabilité : la faute, le préjudice et le lien de causalité. La responsabilité civile du dirigeant peut être engagée par la société ou les associés (I-) ou par un tiers (II-). Cet article traitera ensuite de l’exercice de l'action en responsabilité (III-).

Conditions légales de validité de la rémunération du gérant d'une SARL
Conditions légales de validité de la rémunération du gérant d'une SARL
Publié le 03/10/12 par Anthony BEM

Le 25 septembre 2012, la Cour de cassation a jugé que la rémunération du gérant d'une société à responsabilité limitée doit obligatoirement être déterminée soit par les statuts, soit par une décision de la collectivité des associés pour être valable (Cass. Com. 25 septembre 2012, n° 11-22754).

Les intérêts et les limites du statut d’auto-entrepreneur
Les intérêts et les limites du statut d’auto-entrepreneur
Publié le 02/10/12 par Maître Joan DRAY

Pour faciliter l'exercice d'une activité entrepreneuriale, le statut d’auto-entrepreneur a été créé par la loi de modernisation de l'économie dite « loi LME » du 4 août 2008. L’auto-entrepreneur est : • La personne physique qui exerce une activité commerciale, artisanale, libérale à titre principale ou complémentaire, qui bénéficie d'une dispense d'immatriculation au RCS ou au répertoire des métiers lors de la création de son entreprise et qui réalise un chiffre d’affaires en dessous de certains seuls (32.400 € HT et 81.500 € HT) • L'entrepreneur, déjà en activité, qui remplit les conditions liées au chiffre d'affaires et qui se place sous le régime du micro-social • Celui qui exerce en franchise de TVA (c'est-à-dire que la TVA n'est pas appliquée sur les factures aux clients et que la TVA n'est pas récupérable sur les achats) • Celui qui adhère au régime RSI ou CIPAV pour les cotisations de retraite Il faut cependant noter que l'auto-entrepreneur est un travailleur indépendant. Il ne doit donc jamais être en état de subordination sous peine d'être requalifié en salarié, avec les pénalités de retards et amendes pour dissimulation de travail qui en découleraient. Le statut d’auto-entrepreneur présente un grand nombre d’intérêts pour le créateur ou l’entrepreneur déjà en activité (I-). Mais il faut toutefois relever certains inconvénients (II-).

Société créée de fait et concubinage
Société créée de fait et concubinage
Publié le 02/10/12 par Maître Joan DRAY

La société créée de fait est « la situation dans laquelle deux ou plusieurs personnes se sont comportées en fait comme des associés, sans avoir exprimé la volonté de former une société » (G. Ripert et R. Roblot, Traité de droit commercial, t. 1). Depuis Loi du 4 janvier 1978, la société crée de fait est soumise au même régime que celui de la société de participation (art.1873 du code civil). Les difficultés pour distinguer la société créée de fait (I-) des autres contrats sont aggravées lorsqu'il s'agit de personnes vivant en commun (II-).

L’argument de la disproportion du cautionnement invocable par les cautions profane et avertie
L’argument de la disproportion du cautionnement invocable par les cautions profane et avertie
Publié le 02/10/12 par Anthony BEM

Le 10 juillet 2012, la Cour de cassation a posé le principe selon lequel les juges doivent obligatoirement rechercher si l’engagement de cautionnement bancaire n’est pas manifestement disproportionné à ses capacités financières et que le caractère averti ou non de la caution est indifférent à l'application de ce type d'argument de défense pour engager la responsabilité de la banque le cas échéant (Cass. Com., 10 juillet 2012, N° de pourvoi: 11-16355).

QUE RESTE T-IL DE LA SÉCURITÉ DES PAIEMENTS DE LA LOI GAYSSOT DANS LES VENTES DÉPART USINE ?
QUE RESTE T-IL DE LA SÉCURITÉ DES PAIEMENTS DE LA LOI GAYSSOT DANS LES VENTES DÉPART USINE ?
Publié le 02/10/12 par JeanYves CREVEL

Depuis l’arrêt du 28 octobre 2008, des expéditeurs croient pouvoir faire échec à l’action directe du transporteur en produisant des clauses du contrat de vente des marchandises transportées, qui, mentionnant l’incoterm « Ex Works » ou « Départ usine », ne feraient d’eux que de « simples remettants », sans obligation, la qualité d’expéditeur devant revenir au destinataire ayant commandé le transport. Pas si simple.

Le déroulement d'un contrat international assorti de garanties
Le déroulement d'un contrat international assorti de garanties
Publié le 27/09/12 par Docteur Karim ADYEL

Le rôle des garanties dans le cadre du contrat commercial international.

Les voies de recours contre les ordonnances du juge-commissaire
Les voies de recours contre les ordonnances du juge-commissaire
Publié le 27/09/12 par Maître Joan DRAY

La loi de sauvegarde du 26 juillet 2005 est à l’origine d'un certains nombre de modifications en matières de voies de recours. L'ordonnance du juge-commissaire peut-elle être critiquée devant le tribunal de la procédure collective ? Selon la jurisprudence commerciale récente en matière de recours contre les ordonnances rendues par le juge-commissaire, il différents règles spécifiques. Lorsqu'elles ne sont pas applicables, le droit commun est utilisé.

LE RISQUE DU DEPOT DE BILAN TARDIF
LE RISQUE DU DEPOT DE BILAN TARDIF
Publié le 26/09/12 par Maître HADDAD Sabine

un dépôt de bilan tardif peut entraîner de graves conséquences pour le commerçant ou le dirigeant de droit ou de fait d'une société...

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